Les chanteuses et chanteurs du choeur et Gildas Pungier se muent en "passeurs de lumière" dans un concert de musique sacrée A cappella.
La lumière, onde électromagnétique, peut être visible ou invisible lorsqu’elle sort du champ de perception des êtres humains. Indispensable à la vie, elle maintient l’équilibre de l’environnement naturel, elle est nécessaire à la vision et tient une part importante du bien-être et de la vie sociale. Elle a également une forte valeur symbolique, permettant de percevoir les objets avant de les toucher. Elle s’associe dans toutes les cultures à la connaissance.
Depuis le Moyen-Âge, les maîtres verriers ont su admirablement jouer avec la lumière qui donne vie aux couleurs chatoyantes de leurs vitraux les plus sublimes. Dans ce programme de musique sacrée, la lumière est présente en permanence.
Du grégorien jusqu’aux couleurs actuelles de Knut Nystedt et Eric Whitacre, en passant par l’incontournable Jean-Sébastien Bach, de Mendelssohn et Schubert à Brahms et Rheinberger, du « Lux aeterna » d’Elgar à l’indispensable Agnus Dei de Barber, Gildas Pungier et le choeur de chambre Mélisme(s), tels des « maîtres verriers de la musique », se transforment en véritables « passeurs de lumière(s) » .
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