Avec
Gildas Pungier (direction)
32 chanteuses et chanteurs,
Elsa Benoît (soprane),
Nicholas Crawley (baryton)
Guillaume Le Dréau (ogue).
Bouleversé par la mort de son mentor Robert Schumann puis par celle de sa propre mère, Johannes Brahms signe avec son Requiem allemand un chef-d’oeuvre lumineux et universel.
Alors qu’un requiem traditionnel rend hommage aux morts, celui de Brahms, composé sur des paroles allemandes et non latines, se préoccupe davantage des vivants. Si certains mouvements insufflent tristesse et recueillement, d’autres portent des accents d’espérance et de triomphe.
«Plutôt qu’Un Requiem allemand, j’aurais dû le titrer Requiem humain », dira Brahms. C’est dire si cette oeuvre sacrée porte un sens universel.
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